L'assurance EUROPÉENNE (ERV) « zéro franchise » est comprise dans le prix. Elle réduit à « zéro » la franchise de l'assurance casco, assure aussi bien les pneus (jusqu'à CHF 1000) que le pare-brise (jusqu'à CHF 2000) et augmente la couverture de la responsabilité civile à CHF 5 millions. Les dégâts doivent cependant être couverts par l'assurance du loueur de véhicules. Le remboursement de la franchise s'effectue en Suisse ! Veuillez lire les conditions de contrat de l'assurance EUROPÉENNE jointes à votre documentation de voyage. Vous ne devez conclure sur place aucune assurance permettant la réduction de franchise ! En outre, le locataire d'un véhicule assume l'entière responsabilité financière dans les cas suivants : non observation des conditions de location, accidents causés sous l'influence de la drogue ou de l'alcool, conducteur non autorisé au volant de la voiture de location, utilisation du véhicule sur des routes interdites par le loueur, transgression des règles du code de la route, négligences et omissions graves.

Votre numéro de police d'assurance est celui de votre carnet de voyage (code à 7 chiffres commençant par 5). Numéro vert d'appel d'urgence 24/24 : 00800 4005 4005. Important : lors de la prise en charge du véhicule, le conducteur doit présenter un permis de conduire national en format de carte de crédit et une carte de crédit valable ! Les cartes de crédit à prépaiement ne sont pas acceptées.

Afin de mieux vous orienter, nous vous conseillons de télécharger sur votre smartphone avant départ l’application gratuite Organic Maps. En effet cette application fonctionne comme Google Maps mais sans connexion internet. Pour l’utiliser, téléchargez simplement avant départ sur réseau Wifi la carte du pays dans lequel vous vous rendez – celle-ci fonctionnera ensuite simplement grâce au GPS de votre téléphone. Note : cette application est très utile et rend de grands services dans nombre de pays. Elle est aussi fiable voir plus qu’un GPS traditionnel (suivant les pays) et indique aussi les sentiers de randonnée. Cependant, certains lieux ne sont parfois pas à jour, une nouvelle route peut avoir vu le jour, ou il peut il y avoir des lieux homonymes. Veillez donc à toujours à contrôler la logique de l'itinéraire choisi (éventuellement avoir en parallèle une carte routière) – vous aurez ainsi les meilleurs outils en main pour profiter en toute tranquillité de votre circuit en voiture de location ! A noter que Google Maps peut également avec des cartes téléchargées hors ligne, pouvant constituer un autre bon outil pour la navigation (également sans connexion internet).

Cette petite ville est le point d'arrivée ou de départ de tout safari au Botswana. Elle s’est considérablement développée ces dernières années et est considérée comme la capitale du safari.

Le delta forme un miraculeux écosystème qui s’étend sur 15'846 km2 et se targue d’être le plus grand delta intérieur au monde. C’est une contrée fascinante avec ses magnifiques paysages composées d’eau et de steppes, de forêts et de savane. Plusieurs millions d'îles se sont formées autour des termitières ou des bouquets de végétaux qui retiennent les alluvions. Vingt-quatre espèces d'échassiers nichent dans les îles. Certaines colonies sont simplement établies sur un figuier aquatique, le gomoti sous lequel s'abritent crocodiles et hippopotames. Chaque année environ 11 km3 d'eau coulent au delta ; une fraction crée le lac Ngami, plus au sud.

En contraste avec le reste de la Namibie, il s'agit d'une région très humide avec des fleuves bordés de palmiers et des grandes plaines inondées dans la région de l’Okavango. Courant sur 450 kilomètres de large, elle fait partie du territoire namibien et est délimitée par le delta de l’Okavango et les fleuves Kwando, Chobe et Zambèze. Celle-ci comprend plusieurs parcs nationaux : Bwabwata, Mudumu, Nkasa Rupara et Mahango. Vous pourrez ainsi partir pour des safaris en véhicule tout-terrain, en bateau ou faire une croisières sur le fleuve. La faune sauvage est extrêmement riche avec de nombreux troupeaux d’éléphants et de buffles qui se déplacent entre le Botswana, la Namibie, l’Angola, la Zambie et le Zimbabwe. Les grands prédateurs de l’Afrique comme le lion, le guépard, le crocodile et le chien sauvage africain habitent également la région. La bande de Caprivi demeure une des meilleures destinations en Afrique pour observer les oiseaux et pour pratiquer la pêche grâce à l’abondance de ses cours d’eau. 

Créé en 2007, la taille du parc est d'environ 6100 km2. Situé entre l'Angola et le Botswana, il possède d’importantes variétés d’arbres, comme par exemple le seringa, le copalwood, le teck du Zambèze et le teck sauvage. Il possède aussi un sanctuaire de 35 espèces de petits gibiers, de nombreux éléphants, rouans, koudous, buffles et 339 espèces d'oiseaux. Une magnifique étape au cœur de la brousse, vierge et peu fréquentée. En fait, le parc national de Mahango (Mahango National Park) et le parc animalier de l'Ouest-Caprivi (Western Caprivi Game Park) ont été réunis pour former le parc national de Bwabwata (Bwabwata National Park).

Couvrant une superficie de 11’000 km2, il est le deuxième plus grand parc national du Botswana. Il doit son nom au fleuve homonyme, qui traverse le parc de bout en bout. Alimenté par les eaux du Kwando et du Linyanti, il longe la frontière nord du pays, aux confins de la Namibie, de la Zambie et du Zimbabwe. Irriguée toute l'année, la région attire un grand nombre d'animaux et d'oiseaux. 

Le parc doit sa renommée à son incroyable population de buffles et d'éléphants qui sont dans des forêts et des plaines inondées. Sur les 100’000 éléphants que compte le pays, plus de 70’000 vivent à Chobe, formant ainsi des troupeaux de taille considérable. Ils effectuent des migrations saisonnières allant jusqu'à 200 km : ils quittent les fleuves à la saison sèche pour se rendre vers les plateaux du sud-est durant la saison des pluies. En plus de ces deux géants de la savane, Chobe abrite plus de 250 espèces d'animaux et près de 450 espèces d'oiseaux attirés par la diversité des écosystèmes. En raison de la forte densité d'herbivores dans cette région, on peut y trouver de nombreux prédateurs, tels que des lions et des léopards. Le moment le plus fort de votre séjour dans ce parc sera doute celui du coucher de soleil, car c'est à cet instant magique que tous les animaux des forêts voisines viennent s'abreuver sur les bords de la rivière.

Rien ne peut décrire la stupéfaction provoquée par la vision de ces chutes aux dimensions qui défient l'imagination, et qui pourtant s'engouffrent dans une gorge d'une étroitesse étonnante. Se tenir au bord de la gorge, à quelques dizaines de mètres de ces chutes démesurées, est une expériences qui vous marquera longtemps. On se demande comment autant d'eau peut arriver à ressortir d'une gorge aussi étroite et la violence du courant au pied des chutes est aussi marquante que le célèbre nuage de vapeur d'eau qui s'en échappe et le rugissement assourdissant de la "Fumée qui gronde", selon le nom local des chutes, Mosi-oa-Tunya.

Connu comme la porte d'entrée de Makgadikgadi Pans, ce petit village botswanais est un endroit agréable à vivre. Faites une sortie guidée en quad ou à vélo dans les environs et découvrez des lances de silex et d'autres artefacts abandonnés par les premiers habitants de l’âge pierre. Savourez un barbecue sous le ciel étoilé africain tout en sirotant de la bière de sorgho traditionnelle. 

Cette réserve, d'une superficie de 4900 km2, autrefois une vaste mer intérieure de 80 000 km2, est devenue une réserve naturelle en 1970 puis un parc national en 1992. D'une beauté sauvage, différente des autres régions du Botswana, le lac est désormais une immense cuvette de sel asséchée qui abrite une variété fascinante d'animaux sauvages adaptés au désert ainsi que des prédateurs tels que lions, léopards, hyènes et guépards. Vous y rencontrez aussi antilopes, chacals et parfois des rhinocéros, sans oublier les facétieux suricates. Le plus incroyable étant les crocodiles et hippopotames qui ont survécu dans cette région aride depuis la grande sécheresse de 1993.

Ces étendues de sel se trouvent au nord-est du Kalahari. Il s’agit d’un dépôt provenant de l’ancien lac Makgadikgadi, disparu depuis plus de 10 000 ans, qui s’étendait sur 80 000 km2 et atteignait les 30 mètres de profondeur. Cette région est composée de plusieurs « pans » (cuvettes) de sel au milieu d’un désert aride. Autour de ce désert de sel, la savane est recouverte de buissons denses où se déplacent de nombreux éléphants et girafes. Ces paysages d’immenses plaines d’herbe rase rendent l’observation des animaux particulièrement facile. Les animaux migrent constamment dans cette région de l’Afrique : la migration était autrefois triangulaire puisqu’elle incluait le marais de Savuti mais celle-ci a été réduite à une migration entre le pan de Nxai et le pan de Makgadikgadi suite au développement de la civilisation et l’installation de nouvelle clôtures.

Cette région est célèbre pour la deuxième plus grande migration du continent. Chaque année, de 20'000 à 25'000 zèbres des plaines et entre 3000 et 10'000 gnous font des migrations saisonnières relativement courtes entre la rivière Boteti et la zone à l’Est du Parc National de Makgadikgadi. Durant la saison sèche, les deux espèces se trouvent tiraillées entre leur besoin de boire et celui de se nourrir, car les pâturages autour de la rivière se retrouvent vite épuisés. Chaque jour, ils doivent se déplacer de plus en plus loin pour satisfaire leurs besoins énergétiques. Dès les premières pluies d’été, un exode de masse des herbivores se met en place depuis les bords de la rivière Boteti vers l’est du parc, en direction des prairies salvatrices. Lorsque les pans s’assèchent, les zèbres et les gnous retournent à la rivière Boteti, car à cette période de l’année elle se gonfle des eaux de crues du delta de l’Okavango. Les pâturages régénérés permettent une fois de plus aux troupeaux de subsister, avant que le cycle migratoire se répète à nouveau. Les regroupements les plus impressionnants ont lieu lorsque les animaux se retrouvent à Nxai Pan et à Makgadikgadi. Les opportunités photographiques sont alors exceptionnelles et la rencontre avec de nombreux prédateurs alléchés presque inévitable. A savoir que cette migration est bien sûr très dépendante des pluies, il est donc difficile de prévoir précisément les déplacements des troupeaux.